Surveillance des cultures pour la détection précoce des insectes nuisibles

Solution trouvée à une maladie mystérieuse liée au litchi

Toutes les parties d'une plante de chaya contiennent-elles de l'acide hydrocyanique?

Échos de Notre Réseau: L'agriculture comme entreprise familiale

Banque de Semences d’ECHO: Mes semences sont-elles assez sèches?

Nouvelles sorties de publications électroniques: Options de cultures pour l’amélioration de la nutrition humaine et Moyens de diversification du champ des petits exploitants


Articles


Toutes les parties d'une plante de chaya contiennent-elles de l'acide hydrocyanique?

Stacy Reader et Tim Motis

Les feuilles de cultures tropicales comme le chaya (Cnidoscolus aconitifolius) et le manioc (Manihot esculenta) contiennent des glycosides cyanogénétiques, des substances toxiques qui libèrent de l'acide cyanhydrique (HCN, également appelé cyanure ou acide prussique) lorsque les cellules sont écrasées. Consommer ces plantes sans les cuire peut provoquer un empoisonnement au cyanure, avec des effets qui varient en fonction des niveaux de cyanure et de la durée de temps pendant laquelle une personne ou un animal a consommé cette plante. Le conseiller technique de ECHO en Asie, Karis Lotze, a noté que les pétioles et les tiges vertes sont également consommés dans certaines parties de l'Asie. Elle a demandé: «Le HCN est-il présent dans les pétioles et les tiges vertes? Et si oui, pendant combien de temps ces parties végétales doivent-elles être bouillies pour être consommées sans danger? » Nous répondons à sa question dans cet article.

Solution trouvée à une maladie mystérieuse liée au litchi

Dawn Berkelaar

Pendant 20 ans, une région de l'est de l'Inde a été le nid d'une maladie neurologique mystérieuse et d’apparition soudaine qui a touché des jeunes enfants apparemment en bonne santé, entraînant des crises de convulsions, des comas et (dans 40% des cas) la mort. Cette situation se produisait à partir de la mi-mai et prenait fin en juillet avec l'arrivée des pluies de mousson. La cause de la maladie – un taux glycémique extrêmement bas résultant de la consommation de litchis (Litchi chinensis) à jeun – a été identifiée par le Centre national pour la lutte contre les maladies en Inde et l’Office indienne des Centres de contrôle et de prévention des maladies à Atlanta. Un article récent dans The Lancet décrit l'enquête et les conclusions des chercheurs.

L'agriculture comme entreprise familiale

Sara Delaney est un agent principal de programme au niveau des Programmes internationaux chez Episcopal Relief and Development. Elle a lu l'article intitulé «Femmes et Agriculture» dans EDN 134 et a partagé des idées sur la façon de promouvoir l'agriculture comme entreprise familiale.

Mes semences sont-elles assez sèches?

Stacy Reader et Tim Motis

La protection de la viabilité des semences pendant la conservation peut être une tâche difficile dans les régions tropicales, qui ont souvent des températures élevées et une forte humidité relative. En mai 2017, ECHO a organisé un atelier sur la conservation des semences dans notre Ferme mondiale à North Fort Myers, en Floride. En préparation de cet atelier et pendant qu’il se déroulait, nous avons trouvé de nombreuses idées utiles concernant la conservation appropriée des semences. Dr Tim Motis, le directeur technique et de la recherche agricole, les partagera dans les prochaines publications du blog de recherche et dans les articles de EDN. Une idée simple est l'utilisation de sel et de pots pour estimer la teneur en humidité des graines.

Surveillance des cultures pour la détection précoce des insectes nuisibles

Clare Liptak et Dr. Timothy Motis

Les insectes et autres ravageurs peuvent constituer une contrainte sérieuse à la production alimentaire, en particulier lorsque les ressources pour la lutte antiparasitaire sont limitées. Par exemple, dans EDN 133, nous avons répondu à une question sur les problèmes de la mineuse de tomate (Tuta absoluta) au Nigéria. Les fortes infestations de ce ravageur à lui seul peuvent réduire les rendements de 80 à 100% (Gebremariam 2015). L'article suivant jette les bases d’efforts visant à renforcer nos ressources d'information sur la surveillance et la lutte contre les ravageurs.